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Créée officiellement le 1er novembre dernier, Ampere, la filiale de Renault, a récemment dévoilé sa feuille de route avec pour mot d’ordre principal : « démocratiser le véhicule électrique en Europe en s’adressant à une large clientèle ». Pour atteindre cet objectif, les 11 000 salariés de cette entreprise, au capital duquel on trouve également Nissan et Mitsubishi, vont s’atteler à réduire les coûts de production afin d’être en mesure, à l’échelle 2027/2028, de proposer sur le marché, des véhicules électriques au même prix que leurs équivalents thermiques. Un défi qui, s’il est relevé, devrait permettre une plus grande adhésion des consommateurs, sachant que le prix reste le principal frein à l’achat des voitures électriques en France.
Créée officiellement le 1er novembre dernier, Ampere, la filiale de Renault, a récemment dévoilé sa feuille de route avec pour mot d’ordre principal : « démocratiser le véhicule électrique en Europe en s’adressant à une large clientèle ». Pour atteindre cet objectif, les 11 000 salariés de cette entreprise, au capital duquel on trouve également Nissan et Mitsubishi, vont s’atteler à réduire les coûts de production afin d’être en mesure, à l’échelle 2027/2028, de proposer sur le marché, des véhicules électriques au même prix que leurs équivalents thermiques. Un défi qui, s’il est relevé, devrait permettre une plus grande adhésion des consommateurs, sachant que le prix reste le principal frein à l’achat des voitures électriques en France.
Une large gamme de produits
Dans les 3 ans qui viennent, 4 véhicules électriques devraient rejoindre la Megane E-Tech au catalogue des nouveautés électriques. La première, la Scénic E-Tech arrivera sur le marché début 2024 avec un prix d’entrée de plus ou moins 40 000 €. Elle sera dotée d’une batterie lui permettant de parcourir 625 km (WLTP) sans recharge.
À la même période, la Renault 5 électrique devrait également faire son entrée. Très attendue, elle prendra place sur le marché des compactes et offrira autour de 400 km d’autonomie pour un prix avoisinant 25 000 €. L’année suivante, c’est une autre réinterprétation d’une voiture emblématique de Renault qui prendra place au catalogue : la « 4L », suivie, en 2026, d’une petite urbaine (nommée pour le moment « Legend » mais qui n’est autre qu’une Twingo revisitée) qui devrait être vendue moins de 20 000 € avant toute aide à l’achat.
« Cette gamme sera complétée par deux autres véhicules pour la 2e génération, soit 7 véhicules au total d’ici 2031. Ampere prévoit de vendre environ 300 000 véhicules en 2025 et environ 1 million en 2031 pour une part de marché autour de 10 % », précise le communiqué de presse de Renault.
Copyright : Les Echos Publishing
Pour aller plus loin, découvrez notre étude sur la mobilité électrique.
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